Livre d'or

Altina RIBEIRO, auteur

Vous avez lu un ou plusieurs romans d'Altina RIBEIRO ?

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Alors, n'hésitez pas. Cette rubrique est conçue pour vous !

Au plaisir de vous lire...

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Chère Altina,

 

Encore mot au sujet de votre livre « LE FADO POUR SEUL BAGAGE » : Il est d’une lecture existentielle et met en avant, à travers le conflit de générations, la difficulté pour tout être humain de franchir ses frontières intérieures. A ce titre, je n’ai pas été surpris qu’il ait fait l’objet d’une adaptation théâtrale par une jeune compagnie.

 

Bien Amicalement,

 

Jean-Bernard

Chère Altina,

 

J’ai dévoré votre livre « LE FADO POUR SEUL BAGAGE ». J’étais très impatiente… Mais je vais le relire pour le plaisir de revivre votre histoire.

 

En lisant ce genre de littérature, on cherche à retrouver un peu de soi et j’ai eu beaucoup d’émotion en faisant des parallèles avec l’histoire de mes parents.

 

Votre livre est un véritable hommage à ceux qui ont eu le courage de tout quitter pour donner une vie meilleur à leurs enfants.

 

La description que vous faites de votre vie quotidienne à São Vicente est touchante, les personnages hauts en couleurs et attachants. On se plonge avec délice dans les petits détails de la description d’une maison, du mode de vie rudimentaire au village, du côté pittoresque de tel ou tel personnage. Vous avez su décrire de manière simple, avec beaucoup de tendresse et d’humour, tout l’authenticité de l’époque.

Toute mon amitié,

 

 

Isabelle

Chère Altina,

 

Hier soir, j’ai dévoré la deuxième partie de ton livre ! Ca m’a fait un bien fou ! Je me suis retrouvée dans vos difficultés d’ado entre une culture française très attirante et une éducation portugaise d’un autre temps…

 

J’ai perdu ma mère très jeune. Depuis sa mort, j’ai souvent culpabilisé de ne pas avoir été une fille à la hauteur des sacrifices et du courage de sa maman… Ton parcours et celui de ta sœur me déculpabilisent un peu. Merci à vous deux alors.

 

Je t’embrasse

 

 

Marie

Estimada Altina,

 

Quero dizer-lhe que estou a gostar muito de ler o seu livro, é um regresso às raízes narrado com muito carinho e emoção, ficamos a conhecer os usos e costumes daquela terra isolada e perdida “Atrás dos Montes” e por isso mesmo preservada nas suas vivências e tradições. Agora jà estou em Paris...

 

Um abraço

 

 

Mariana

Bonjour Altina,

 

J'ai eu le plaisir de dévorer ton livre « LE FADO POUR SEUL BAGAGE » ce week-end et je voulais te dire que ton histoire est touchante car elle est vraie et elle est écrite avec beaucoup de tendresse et d'optimisme.

 

Cela donne envie de lire les autres!!

 

Laure

 

Boa tarde,

 

Terminei ontem a leitura do livro "De São Vicente a Paris" e devo dizer que gostei muito, quer como registo duma época difícil da nossa história recente, quer como registo duma história de vida (e que história!).

 

Os meus pais também foram emigrantes e eu vivi em França desde a idade de um ano até aos 11. Recordo muito bem o que era a vivência dos emigrantes naquelas terras distantes e o que foi o regresso a um Portugal ainda muito atrasado, em 1982.

 

Felizmente, e apesar das dificuldades que hoje também existem, os tempos são claramente diferentes... para melhor.

 

Voltarei a contactar em novembro, quando for publicado o seu testemunho no blog.

Cumprimentos desde Leiria.

 

Luís dos Anjos

 

 

 

Boa tarde D. Altina Ribeiro,

 

Antes de mais quero dar-lhe os parabens pela forma como descreve a sua ida para Paris e as situações a que os emigrantes se sujeitam para amealhar aguns tostões.

 

Já li o seu livro 3 vezes, que bastante me comoveu, "PARABENS".

 

Os meus cumprimentos,

 

David de Sousa

 

Je suis la personne que vous avez presque fait pleurer, hier soir en découvrant votre pièce ! J'étais assis derrière vous, à côté de mon épouse, et nous avons adoré ! J'étais un peu ému lorsque j'ai pris le micro et il y a longtemps que je n'avais pas eu cette émotion. Je vais vous faire une demande en amitié, non pas pour gonfler ma liste d'amis, car je ne fais pas de compétition, mais j'essaie de m'entourer de gens comme vous qui me tirent vers le haut !
Merci pour votre attention et je vais lire votre livre avec un regard très particulier. Je ne manquerai pas de vous faire par de mon ressenti, mais je peux d'ores et déjà vous dire que vous m'avez conquis !

Amitiés
Filipe

 

L'émotion etait palpable hier soir. Je suis tellement heureuse d'avoir fait votre rencontre Altina. Depuis la lecture de votre livre j’ai moi aussi posé par écrit mon vécu et mes émotions de l'immigration vu par la troisième génération ! Vous permettez à de nombreuses personnes de se retrouver, d'échanger et de pouvoir partager des émotions différentes selon le vécu de chacun. Vous nous donnez tellement en écrivant sur ce sujet ! C'est une thérapie collégiale en quelque sorte ! Je ne regrette pas d'avoir fait 2 h de route pour vous rencontrer et passer un merveilleux moment. La troupe est très douée ! Et l'accueil à Montmagny excellent !  Bises à tous. Julie

 

 

Bonjour Altina Ribeiro ,

En tant que tourangeau et lusodescendant, originaire du nord du Portugal, je tiens un blog sur Trás os Montes , une terre pour laquelle vous avez réalisé un excellent travail de mémoire.
Je vous en suis très reconnaissant. Aussi, afin de faire connaître votre œuvre, je viens vous demander votre autorisation pour publier l’image de votre livre « De Sao Vincente a Paris » sur mon site ainsi que les réseaux sociaux (
http://portugalriolivre.blogspot.com/) .
Je serais ravi de recevoir une réponse, dans l’attente, recevez mes salutations Transmontanas.

Zeca Soares
 

 

Le récit de vie est parfois considéré, avec condescendance, une contribution sociologique. Mais la façon dont nous inscrivons sur la feuille blanche notre histoire ou ce dont nous avons retenu de notre expérience de vie, éveille le côté confidence, de journal intime, de parcours personnel qu'on donne à voir et qu'on veut faire partager. Le livre de Altina Ribeiro, s'inscrit dans cette forme de récit et, à travers son histoire, nous décelons aussi ce qui est à l’œuvre dans un mouvement de population, le contexte social et politique à son origine, l'installation de l'immigration portugaise en France dans les années 60, les facteurs qui ont déterminé son devenir, le choix de vie de ses parents. C'est ainsi que se déroule Le fado pour seul bagage, [éd. La Voix au Chat Libre, 45210 Nargis * lechatlibre.com] qui retrace bien les premiers pas, la découverte du monde dans son village, Sâo Vicente (Tràs-os-Montes, le nord-est du Portugal), le regard de l'enfant presque "ethnologique" des relations familiales et sociales. Par petites touches, elle nous invite à rentrer dans l'intimité de ses voisins, de ses amitiés, des habitudes et des règles qui l'ont fait grandir et constituent les fondamentaux, dirait-on, qui vont lui permettre de s'approprier avec vivacité et enthousiasme le devenir en train de «la bousculer et de la forger»...

  

C'est en effet très riche de détails, des séquences qui ponctuent l'évolution de la petite fille qui vit dans l'harmonie d'un milieu généreux de rapports humains, néanmoins confrontée à la précarité d'un village sans eau courante ni électricité, où les "corvées" (aller au puits) deviennent un jeu et un joyeux moment de rencontres et partage de "brincadeiras" et d'amitiés. Cette petite fille va grandir sans père, immigré en France, à partir de deux ans et demi (qu'elle ne revoit que deux ans plus tard, sans le reconnaître). Complicité avec la grande sœur, obéissance à la mère-chef de famille, fortes liens avec d'autres adultes devenus des référents, en réalité ceux qui ont aidé la fratrie, la famille à borner son chemin. Les observations sur l'école primaire, à la mode autoritaire avec la photo de Salazar et le crucifix, montrent bien la trace que l'instruction et son contexte inculque dans la tête des jeunes écoliers. 

 

Le deuxième temps de son livre c'est celui du départ de la famille à Paris, une sorte de regroupement familial, à l'âge de neuf ans. Et la petite fille nantie d'une intense solidarité familiale et sociale que la vie villageoise a aidé à cimenter va prendre, sans marche d'approche, le milieu urbain tumultueux de la ville lumière. En quelque sorte, la confrontation avec l'inconnu qui est aussi le bouleversement des habitudes, des contraintes, d'un mieux être matériel pas complètement comblé car l'inconfort intérieur est encore présent, tant elle souffre de la perte du rapport humain où elle a grandi. 

 

Et c'est peut-être une des réussites de l'auteure, nous faire apercevoir les méandres de l'émergence d'une autre personnalité (avec celle de sa grande sœur) qui s'approprie progressivement de son nouveau lieu de vie. Il va la confronter au décalage générationnel, entre un père venu pour gagner (sans dévier) sa vie et l'apprentissage d'autres façons de se situer parmi les autres, presque d'autres valeurs que sans s'y opposer, s'ajustent moins et parfois empêchent la cohabitation familiale. D'abord avec Luisa en fugue, en réaction à la «violence du père», sans passage à l'acte mais bien présente, et ensuite son propre choix de s'installer dans un studio, sans prévenir les parents. 

 

Et Altina Ribeiro décrit son chemin scolaire, sa volonté de poursuivre des études et sa détermination dans cette voie. Et c'est finalement ce courage qui lui a permis de nous faire partager aujourd'hui cette résolution, cette ténacité, qui devient aussi transmission sur un exemple du grand exode migratoire portugais des années 60 et 70. Même s'il s'agit d'un itinéraire personnel, on peut comprendre comment les travailleurs Portugais ont cherché d'abord à faire face à la misère qui les a fait partir et comment ensuite leurs enfants ont été des "agents de changement voire de développement". La mentalité dite "d'autrefois" de beaucoup de parents n'a pas changé de ce fait mais leur vie a, elle, été profondément bouleversée. 

 

Deux temps d'une histoire de vie. De ce livre, une jeune troupe amateur a adapté les vies d'Altina, Luisa, des parents et d'autres personnages, au théâtre. Et j'ai eu l'occasion d'assister à une récente représentation au Théâtre de Neuilly (92), organisée par une association culturelle et de loisirs de Portugais. Il y avait environ 500 personnes (parfois en famille) venues en quelque sorte voir sur scène des moments de leur propre expérience de vie. La salle réagissait souvent à des séquences qui rejoignaient la mémoire collective de la vie au village, du "salto" (traversée clandestine de la frontière à pied), de l'installation souvent dure et hasardeuse en France. Les parents de l'auteure étaient présents et quelle "boucle psychologique" doit représenter pour eux ce miroir... 

 

Jeune troupe «Os Sugos», de Fontenay sous Bois (94) animée par la metteuse en scène Suzana Joaquim Maudslay qui a adapté au théâtre les multiples facettes de l'histoire d'une petite fille, interprétée avec finesse par une jeune actrice, pendant que les autres comédiens jouent dans un décor dépouillé mais efficace (une sorte de troncs d'arbre transformés en tabourets roulants), comme des tableaux des différents moments forts du récit. Le jeu de la grande sœur Luisa m'a semblé très juste. Peut-être que quelques simples accessoires aideraient à mieux situer les différents personnages. Mais le public ce soir-là ne s'est pas trompé, le fado, celui d'un morceau de leur vie était bien sur scène. 

 

Prochaine soirée de théâtre organisée par l'association Amitié Franco-Portugaise du Val d'Yerres (Essonne), le samedi 8 Novembre, à 20H00, à la salle des Fêtes de Brunoy, Impasse de la Mairie - 91800 BRUNOY (tél. 06 14 86 74 94)

 

Caríssima Altina,

Pois acabei o livro “Alice au pays de Salazar” e devo dizer que é mesmo bom. Não me admira que ganhe prémios. Vivi a infancia em Portugal, fiz a escola portuguesa em Moçambique e vivi por volta de três anos em Portugal entre o fim dos anos 50, inicio dos anos 60. Daí, vem o facto que conheço “un petit bout” como se vivia nessa época. Mas a história da vida da Alice deu-me a conhecer aspectos que não conhecia. Cito em particular a descrição da vida dos marinheiros em Terre Neuve.
Assinalo ainda como muito positiva a tua preocupação de dar elementos precisos, resultado duma verdadeira pesquiza sobre a historia do Estado Novo, e sobre o golpe do 25 Abril 1974.
Compliments !
Beijinhos e votos de sùdde e de muitas muitas alegrias
Allbano Cordeiro

 

 

Olá prima, já acabei de ler o livro. Dou os parabéns porque tem uma escrita acessível á leitura a todas as classes sociais, o tipo de letra convida á leitura. Gostei imenso, sinceramente. Muitas dificuldades mas que foram todas ultrapassadas felizmente e apenas ficou a história. A minha vida e das minhas irmas foi totalmente diferente, mesmo quanto á mentalidade dos pais. Apesar das vossas dificuldades, tens agora uma linda e enriquecedora história de vida que lutaste e ultrapassaste todas as dificuldades e és um sucesso. És uma guerreira e de imigrante não tens nada. Parabéns pela coragem de lutar e de saber viver e não ser escrava do trabalho e do dinheiro, pois, temos de viver um dia de cada vez. Este sempre foi a minha forma de estar na vida. Gostei da tua simplicidade e da tua riqueza interior, és uma pessoa com quem dá gosto falar. Só podes ter orgulho em ti. Palavras siceras. Continuação de sucesso e muitos parabéns pela pessoa que és.

 

Beijos.

 

Angélica Maldonado

 

Bonjour Altina,
J'ai eu la chance d'assister à la conférence sur la Révolution des Œillets à Tours en avril dernier, organisée par l'Association Culturelle France Portugal 37. 
J’'ai acheté votre livre "Le Fado pour seul bagage", et je l'ai dévoré ! 
Mon mari a débuté la lecture, et c'est avec émotion qu'il y retrouve la dure vie de ses parents et de sa famille et ce terrible choix de devoir laisser sa vie, sa famille etc... pour aller s'installer dans un pays totalement inconnu. 
Ce livre devrait être conseillé à tous les immigrés portugais, ainsi que leur enfants et petits-enfants, car votre histoire est aussi l'histoire de toute une génération, déchirée entre deux pays..
Laëtitia

Julie Rodrigues (jeudi, 05 décembre 2013 11:08)

Altina, j’ai lu votre livre « Le fado pour seul bagage ». Je suis née en France mais votre ouvrage a fait écho en moi ! J’ai retrouvé l’histoire de mon père dans la vôtre. J’ai l’impression de l’avoir vécue MOI-MEME ! Mon papa a quitté le Portugal à l’âge de 8 ans. Depuis que j’ai eu l’âge de l’écouter, j’ai été en quelque sorte son journal intime. En lisant votre livre, j’ai eu l’impression que mon père me racontait son histoire. Merci pour votre belle écriture. Julie Rodrigues Livros de visitas

 

C'est avec un réel plaisir que j'ai "dévoré" votre livre.
J'ai lu d'autre livres de témoignages similaires (en particulier concernant les immigrés espagnols républicains,puis de ceux qui ont quitté le pays pour des raisons économiques ),mais une certaine lassitude s'installait à leur lecture à cause du trop plein de détails.
Vous avez fait le choix de la concision par le découpage en thèmes et c'est réussi car le livre lu tout s'imbrique à la manière d'un puzzle.
Pas de pathos, non plus dans votre récit,pas de haine,mais de la retenue et de la  pudeur.Les souffrances sont là, suggérées, et cela suffit à les comprendre.
Je ne vais pas plagier la 4ème de couverture, mais tout y est dit.
J'ai trouvé dans cet ouvrage un  doux optimisme et une belle joie de vivre .Il m'a permis, également de mieux connaître la communauté portugaise parfois caricaturée.

Je vous souhaite d'excellentes fêtes.

 Bien cordialement à vous. 
Alice Sierra
23.12.2010

 

 

Muito obrigada, Altina, pelas fotos e pela simpatica mensagem que as acampanhava.

 

Gostei muito de ler o seu livro ; lembrou-me os inumeros percursos de jovens do norte de Portugal que foram meus alunos e com quem
tinha tanto prazer em evocar as vivências rurais. (Eu também sou do campo e adivinhava facilmente o que eles sentiam numa cidade, Bordéus,  que ainda nao era tao atrativa como pode parecer hoje...)

 

 De qualquer forma, a Altina soube evocar tudo com a delicadeza, a sensibilidade e o humor que tornam possivel a empatia e o interesse do leitor. Muitos parabéns, entao e talvez até breve para mais uma descoberta da sua escrita ?

 

 Com os cumprimentos amigos da Ana Maria e do Daniel

 

 

Bonjour, j'ai lu votre livre « le fado pour seul bagage », pour ne pas dire dévoré. Tout d'abord, felicitations ! Quelle belle idée d'avoir osé retracer l'histoire de milliers de portugais ! Je me suis entièrement reconnu dans ce livre, c'est tellement ça!!!  Oui, j'ai vécu la même chose, ma mémoire s'est enflammée. J'espère vous rencontrer à nouveau pour évoquer le style et les citations.
Je vous invite à voir quelques unes de mes peintures et il faut que je me procure votre nouveau livre.
 

A bientot.

 Antonio. »

 

 

A minha opinião sobre "Le fado pour seul bagage":

Este seu livro deliciou-me e encantou-me. Por isso, tem já um lugar de 
honra na minha pequena biblioteca. Identifiquei-me completamente nele, já que o tipo de vida e as dificuldades vividas na sua infância, eram iguais na minha aldeia e, se calhar, em todo o nosso Portugal.

Presto-lhe a minha homenagem pelo seu trabalho na elaboração deste 
livro, com tantos pormenores tão simples e tão importantes.

Admirei a sua coragem, no final do livro, quando decidiu o rumo da sua 
vida, durante aquele conflito de gerações e de culturas com que foi 
confrontada.

Permita-me prestar a minha homenagem também ao seu pai, pela forma com que foi à luta, pelo que sofreu e pelo amor pela sua família.

Apresento-lhe os meus cumprimentos

Artur José de Sousa Fernandes"

 

 

Altina, acabei de ler ontem a tua história e não larguei o livro antes de o 
ter acabado! Voltei às imagens da minha infância e foi delicioso!

Tanta coisa para dizer e partilhar contigo!

OBRIGADA pela viagem do passado, do presente e do futuro!

Um abraço para ti, um para a tua mãe que já me é familiar, que ternura! Um para o teu pai, homem inteligente e tão lùcido!
Atè breve......
Carolina

 

Depuis que la Françoise me cause de son "Altiti" (1979!) je te connais enfin à travers ton premier livre que j'ai lu d'un seul souffle comme quoi rien n'est jamais écrit d'avance.

  

J'attends que notre amie commune me fasse part du second!!

 

 

Objet : LE FADO POUR SEUL BAGAGE....

 

Bonjour Altina, 


Je sais tu es certainement surprise ! je voulais juste te dire que je viens de lire ton livre, et je l'ai trouvé très émouvant !! écrit avec beaucoup de sensibilité ! ça m'a permis de me rendre compte de la façon dont vivaient mes parents d'apprendre la manière dont s'est déroulée leur immigration vers la France ! pour ma part je suis un peu comme Marina et Bruno, je suis née en France mais j'ai également ce pincement au cœur lorsque je traverse la frontière espagnole et je pleure lorsque je la retraverse dans l'autre sens !! je suis portugaise dans l'âme comme tu le dis si bien ! Rémy aussi l'a lu (avant moi) et il en avait les larmes aux yeux !! il a adoré (même s'il n'est pas portugais !!)
Rémy et moi tenions à te féliciter et nous te souhaitons beaucoup de réussite !!
biz

 

 

Altina, j'ai fini la lecture d’«Alice au pays de Salazar ». J'ai été très touché par la vie de cette femme. Le poète Guerra Junqueiro avait écrit un long poème intitulé « Os Simples ». Toi aussi, en écrivant ce livre, tu as rendu hommage « aos simples ».

Grâce à ton écriture, tu as donné une voix à Alice et, par là même, à des milliers d'Alice dont la vie était destinée à demeurer anonyme et pourtant, c'est une vie de labeur, de courage et d'abnégation qui mérite d'être connue. Je pense que l'un des rôles de l'écrivain est précisément d'écrire au nom de gens comme elle qui ne pourront jamais le faire. Jacques Blanc

 

 

J'ai lu et j'ai aimé – De São Vicente à Paris- ( Le Fado pour seul bagage dans sa version française) d'Altina Ribeiro.

Dans ce livre, l'auteure évoque tout d'abord son enfance dans un petit village isolé ( São Vicente) du nord du Portugal au début des années soixante. Par le biais de petits tableaux portant chacun un titre, elle réussit  à rendre très vivantes ces petites scènes telles que «  Le travail des femmes », « La fontaine », « Les braises » etc..... 

La vie au village est dure, les gens sont pauvres mais solidaires les uns envers les autres. Malgré ces conditions difficiles, la petite Altina est heureuse. Tout est prétexte à des jeux avec ses amies, y compris les corvées telles qu'aller chercher de l'eau au puits ou laver le linge à la rivière. Les parents travaillent aux champs toute la journée et n'ont pas le temps de s'occuper des enfants. Alors, ce sont les vieilles dames du village, les « tias » qui s'en chargent et leur apportent la tendresse dont ils ont besoin.   

Dans ce livre, il n'y a pas de ces figures de style telles que métaphores et autres périphrases ou accumulation d'adjectifs qui rendent tant de romans lourds et ennuyeux au bout de quelques pages. Au contraire, le style d'Altina est vif, fait de  phrases courtes, de paragraphes de quelques lignes, de petits dialogues reproduisant le parler des habitants et le lecteur a la sensation d'être au milieu du village. 

Quand vient le temps de l'émigration du père, parti clandestinement en France pour chercher du travail, les pages sur le voyage à travers l'Espagne et la France jusqu'à Paris puis la vie dans un bidonville de Champigny sur Marne sont prenantes et nous rappellent ce que ces hommes portugais ont eu à supporter sans jamais se plaindre, soutenus par l'espoir de trouver un emploi et gagner de quoi faire vivre leur famille. 

Dans la deuxième partie du livre, Altina raconte son propre départ du village avec sa sœur Luisa et sa mère pour aller rejoindre leur père à Paris. La tristesse de quitter ses amis et les « tias » se mêle à l'excitation à la perspective d'une nouvelle vie en France.  A Paris , les petites filles et leur mère subissent un choc culturel violent, face à un monde qu'elles ne soupçonnaient pas, sans parler de la barrière de la langue. Altina et sa sœur vont vite apprendre à surmonter les obstacles et s'adapter petit à petit, ce que leur mère ne  réussira pas à faire. Mais elles auront toujours la nostalgie du village, du pays «  a terra » et de la liberté dont elles jouissaient là bas, chose impossible à Paris. 

Les petites filles grandissent, deviennent des adolescentes de plus en plus « françaises » ce qui entraine fatalement des conflits avec les parents et en particulier avec le père.  Ceux- ci voient leurs filles leur échapper, s'émanciper et aspirer à une vie qui va à l'encontre des valeurs et traditions d'une éducation stricte à la portugaise. 

Un retour au village quelques années plus tard lors des vacances d'été est un vrai bonheur même si déjà un certain nombre de choses a changé. Lors d'un deuxième séjour, alors qu'Altina et sa sœur sont maintenant des jeunes femmes, elles comprennent que le petit « paradis «  de leur enfance est définitivement perdu. Les « tias sont décédées, les amis sont partis et même les parents qui rêvaient de revenir s'installer au village, ne sont pas sûrs d'y rester. 

De son enfance, Altina a gardé le goût des choses simples, l'esprit de solidarité et une grande tendresse pour tous les gens, portugais ou français qui l'ont aidée à surmonter les obstacles sur son chemin. Dans les derniers paragraphes, elle rend également hommage à ses parents et leur courage. Ils ont  fait tout ce qu'ils ont pu, avec leurs moyens, quitte à ne plus être compris par leurs filles, pour leur donner une vie meilleure que celle qu'ils ont connue eux mêmes, d'abord au Portugal, puis en France. En conclusion, Altina  a une pensée pour tous ces immigrants de la première génération qui ne sont déjà plus tout à fait portugais et ne seront jamais tout à fait français. Tel est leur destin, le Fatum qui a donné le Fado, ce chant qui reflète si bien l’âme portugaise, ce Fado qu'ils avaient  « pour seul bagage ». 

 

 

Altina Ribeiro, autora de “Le Fado pour seul bagage”, nos leva a uma epopeia dos anos 60, que vale a pena os mais jovens terem conhecimento, factos reais de um passado que muitos conheceram. Foram assim homens e mulheres da luta. Livro que valeria a pena ler!!! » 

Sou uma admiradora da sua literatura! Adorei também o vosso segundo livro! “Alice au pays de Salazar”. Obrigada por transmitir todos estes conhecimentos para que não fiquem esquecidos no tempo e na memória dos netos e bisnetos de aqueles que fizeram o primeiro caminho para uma vida melhor. 

Os meus sinceros parabéns

 Maria Helena Ramos

 

 

Altina Ribeiro, autora de “Le Fado pour seull bagage” e “Alice au pays de Salazar”, nos leva a uma epopeia dos anos 60 que vale a pena os mais jovens terem conhecimento, de os factos reais de um passádo que muintos conheceram, agora que aderimos as palavras. Geração a Rasca.....Nada em comparação aos anos que muitos como eu atravessáram, ganhando a nossa luta no silênciode moderação e respeito, foram assim homens e mulheres, da luta, sem nunca gritar bem alto nós Vencemossssss!!! Livros,que valeria a pena ler!!! »

 

Maria Helena Ramos

 

 

Prezada Altina Ribeiro

 

 Sou uma admiradora de a sua literatura! Adorei também o vosso segundo livro!

 

Alice ao país de Salazar no qual mais uma vez nos descreve: A epopeia de 

 

Portugueses nos anos 60, que tiveram a coragem de enfrentar o cabo das tormentas

 

Atravessando montanhas por lugares talvez por outros nunca antes descobertos?..

 

 Obrigada por transmitir todos estes conhecimentos, para que não fiquem esquecidos no tempo e na memória dos netos e bisnetos de aqueles que fizeram o primeiro caminho para uma vida melhor.

 

Os meus sinceros parabéns

 

                                                    Maria Helena Ramos

 

 

 

 

Olá Altina

 

Antes de mais quero dizer-lhe que estou a gostar muito de ler o seu livro, é um regresso às raízes narrado com muito carinho e emoção, ficamos a conhecer os usos e costumes daquela terra isloada e  perdida  «Atrás dos Montes» e por isso mesmo  preservada nas suas vivências e tradições.

 

Um abraço,

 

Mariana

 

 

Gostei muito de ler o seu livro "De São Vicente a Paris". Lembrou-me os inumeros percursos de jovens do norte de Portugal que foram meus alunos e com quem tinha tanto prazer em evocar as vivências rurais. (Eu também sou do campo e adivinhava facilmente o que eles sentiam numa cidade de Bordéus, que ainda não era tao atrativa como pode parecer hoje...)

De qualquer forma, a Altina soube evocar tudo com a delicadeza, a sensibilidade e o humor que tornam possível a empatia e o interesse do leitor. 

Muitos parabéns, entao e talvez até breve para mais uma descoberta da sua escrita ?

Com os cumprimentos amigos da Ana Maria e do Daniel

 

 

Li “De São Vicente a Paris”, uma obra bastante envolvente pelo ritmo dado ao desenrolar das temáticas. É uma história de uma Vida! Muito bem sentida e contada! Uma vida "obscura"... onde só o espírito de sacrifício e uma vontade inabalável conseguia fazer face as agruras de uma existência isenta de quaisquer horizontes que não fossem a miséria; material!... porquanto, a riqueza endémica dos pensamentos que enriqueciam a Mente deste Ser que sonhava com um Mundo melhor. De São Vicente a Paris, é o relato fidedigno de uma Mente repleta do maravilhoso que este Mundo pode nos prodigar... quando o Querer fala mais alto do que qualquer ordem pre-estabelecida. Bem Haja, Altina Ribeiro! » Apolinário Santos Curado

 

 

Bonjour altinaribeiro,

un nouveau commentaire ou message du livre d'or a été laissé sur votre site Jimdo
http://www.altina-ribeiro.com/ par nataly.

grâce au hasard d'une rencontre au centre commercial de Fontenay et à Alice, je mes suis remise à la lecture et j'y reprends goût, j'ai lu le livre d'un seul trait, une histoire captivante, cela m'a
donné envie de livre votre 1ere oeuvre "le fado pour seul bagage" merci
 

05.09.2011 

 

 

Bonjour altinaribeiro,

un nouveau commentaire ou message du livre d'or a été laissé sur votre site Jimdo
http://www.altina-ribeiro.com/ par nataly.

grâce au hasard d'une rencontre au centre commercial de Fontenay et à Alice, je mes suis remise à la lecture et j'y reprends goût, j'ai lu le livre d'un seul trait, une histoire captivante, cela m'a
donné envie de livre votre 1ere oeuvre "le fado pour seul bagage" merci
05.09.2011

  

 

Bonjour altinaribeiro,

un nouveau commentaire ou message du livre d'or a été laissé sur votre site Jimdo
http://www.altina-ribeiro.com/ par nataly.

grâce au hasard d'une rencontre au centre commercial de Fontenay et à Alice, je mes suis remise à la lecture et j'y reprends goût, j'ai lu le livre d'un seul trait, une histoire captivante, cela m'a
donné envie de livre votre 1ere oeuvre "le fado pour seul bagage" merci
 

05.09.2011

  

 

Altina,  j’ai lu votre livre « Le fado pour seul bagage ». Je suis née en France mais votre ouvrage a fait écho en moi ! J’ai retrouvé l’histoire de mon père dans la vôtre. J’ai l’impression de l’avoir vécue MOI-MEME ! Mon papa a quitté le Portugal à l’âge de 8 ans. Depuis que j’ai eu l’âge de l’écouter, j’ai été en quelque sorte son journal intime. En lisant votre livre, j’ai eu l’impression que mon père me racontait son histoire. Merci pour votre belle écriture. Julie Rodrigues

 

 

Bonsoir,
J'ai lu votre ouvrage "Le fado pour seul bagage" qui m'a beaucoup touchée. Je suis fille d'immigrants portugais au Brésil et j'ai toujours été très sensible à l'histoire de l'immigration portugaise en France. C'est pourquoi, j'ai décidé de venir à Paris pour faire un master 2 sur ce sujet, dans le domaine de la littérature. Et pendant mes études j'ai eu l'opportunité d'intégrer l'association Mémoire Vive. Je donne actuellement des cours à l'université Paris 3 et l'année dernière j'ai utilisé un extrait de "Alice au pays de Salazar d'Altina Ribeiro" dans un examen. Les étudiants ont fait des analyses très intéressantes sur votre texte. 
Enfin, je voudrais juste vous féliciter pour votre travail.

 

Bien cordialement,

 

Karina

 

 

"Bonjour Altina, j'ai été séduite par "Le fado pour seul bagage". J'ai admiré votre sincérité, votre tendresse, votre courage aussi quand vos affrontez le décalage culturel entre vos parents et vous. Bref, j'ai adoré votre livre. Amicalement, Isabelle Alonso"

 

 

Acabei de ler o seu livro “De São Vicente a Paris”. Uma história de amor, sobretudo porque põe a mão nas feridas para no fim compreender e (não é bem o termo correcto) perdoar. Um bom retrato do Portugal dos anos 60, das recordações e pessoas que ficaram para trás, das experiências amargas dos primeiros emigrantes, do choque de culturas. E iguamente da entreajuda, das pequenas alegrias e de paisagens bucólicas, talvez já muito diferentes, hoje. A tudo isso a Altina sobreviveu. E desejo-lhe muitas felicidades para o Futuro. Um abraço.Margarida Mercês de Mello

 

 

Olá Altina, boa tarde, como está ? Adorei o seu livro. Ao ler “De São Vicente a Paris” foi uma explosão de emoções, fez-me rir como me tornou inquieta e curiosa, chegar ao fim da página e voltar a outra com a pressa de viajar.

 

Gosto, quando abro um livro e ele me prende, foi o que aconteceu com este, logo na 1ª página. Há passagens que me fizeram voar até à minha infância, a maneira como descreve a situação, o ambiente e até os cheiros se tornam reais, o cheiro da lenha a arder, o cheiro da cal, o cheiro dos campos e os cheiro das laranjas, fez-me sorrir.

 

Descreveu nítida e sentida a vida, que foi na era da Ditadura Salazarista. Adorei a viagem, o percurso, a aventura, a determinação e a vontade de dias felizes, conseguiu transmitir, de maneira tão feliz, nas linhas que escreveu. Parabéns, aproveite esse seu Dom natural para nos presentear com mais páginas. Bem-haja. Beijinho grande! Maria Manuela

 

 

Hello Altina! Bravo pour "le fado". Très bien écrit et très instructif, j'ai appris plein de choses dont j'étais loin de me douter. Bonne continuation.

 

 

Em tempos outrora, a MULHER fora sempre rebaixada e inferiorisada pela classe masculina. Porem, como alguem dissera "mudam-se os tempos, mudam-se as vontades..." Pessoalmente admiro-a pelos seus feitos senhora Altina, a senhora é uma mutante combatente e sempre activa nesta sociedade por vezes masculina de mais.. simplesmente na tentativa se sempre dignificar a cultura de um pais e o seu povo. A senhora é um exemplo de nivel para a sociedade. Bravo ! Pois o seu saber só gratifica Portugal pelo mundo fora. Nelio Carimo

 

 

VACHER Georges,
Jeudi 29 mars 2012 07:50 J'ai dit tout le bien que je pensais du parcours de l'auteur du livre LE FADO POUR SEUL BAGAGE. A lire et à commenter dans les classes où on apprend la langue du pays d'accueil. GbvFD

VACHER Georges (anonyme),
jeudi 29 mars 2012 à 07:22
Ce matin, jeudi 29 mars 2012 à 5:45 la voix d'Altina d'une fraicheur remarquable et une relation sincère de son parcours depuis le départ de son père laissant femme et enfant au Portugal pour travailler en France et le regroupement familial après des années de galère. Enfin la scolarité de cette gamine dans une classe spécialisée pour apprendre la langue du pays d'accueil... Je vais acheter son livre rapidement !

 

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